mordre au travers des particules élementaires
ce lundi, deux auteurs aux réputations "particulières" se sont vus décernés des prix littéraires.
Mon chat, il relativise les remarques qu'on entend autour d'eux, j'ai commencé aussi à goûter les stupidités: un rigolo de service n'a-t-il pas un jour qualifié l'un de mes dessins de "fasciste". Pas une once de racisme évidemment, mais simplement une pointe d'humour qui ne lui plaisait pas; même rigolo qui aujourd'hui se permet d'utiliser mes dessins en oubliant de me demander mon accord et en omettant également toute référence d'auteur (voir article 111 et 112 du code de la propriété intellectuelle et artistique)
Bref, revenons à la littérature
D'abord celui qui a eu le plus de place dans les médias: Houellebecq, Michel, nouveau prix Goncourt. Michou, c'est l'allégresse incarnée, ici simplement esquissé:
et plus discret: le prix Renaudot pour Virginie Despentes
image très librement inspirée par son nouveau livre et sa couleur de couverture. Un entretien sympa avec Brigitte Kernel de France Inter était téléchargeable pour ceux qui comme moi avaient loupé l'émission, je ne sais pas si l'enregistrement est toujours disponible, c'est ici (site de l'émission): Noctiluque