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BenL
19 septembre 2012

série anglaise pour commencer avec un Robin des

série anglaise pour commencer avec un Robin des bois à la sauce aristotélicienne:

Robin (2)

Ardèche ensuite, terre de fossiles (avec un nid du côté de la Voulte). Comme il est rapide d'associer fossiles à dinosaures, on peut voir parfois errer ce genre de bestioles dans le paysage ardéchois, façon reproduction grandeur nature en plastoc (en réalité les fossiles locaux sont plus du genre "marins" que T-Rex):

diplo (2)

Ardèche toujours, avec une autre vue perchée au dessus des toits de Tournon, cette fois vers le nord:

Photo 149

un peu d'actualité: trop occupé à pester contre mes confrères de Charlie, Richard Prasquier en a oublié de te parler du centenaire de la naissance de Raoul Wallenberg.

Il est né le 4 août 1912, mais c'est aujourd'hui, 19 septembre, la date choisie par l'ONU pour la commémoration.

Raoul Wallenberg (1)

Ensuite, toujours de l'actualité; vu ce matin pendant la séance d'éveil corporel:

un gros porteur gris (le matin, tous les gros porteurs sont gris), aux marques de nationalité peu visibles comme c'est à la mode, probablement nos militaires, mais on a aussi souvent des voisins de passage; voletant tel le petit papillon, d'une crête à l'autre le long de la vallée, probablement en direction de la base militaire d'Orange.

Ce qui est bien avec les cocardes, c'est que ça permet d'être au dessus des lois de l'aérodynamique et de pouvoir réaliser des stupidités qu'un pilote du dimanche comme moi ne ferait jamais.

Mais des fois la nature est joueuse. Elle en a rien à faire de leurs cocardes, des galons dorés sur les épaulettes et veut quand même montrer qu'elle est la plus forte: passant trop bas, pas assez vite, sous le vent d'un relief alimenté par un bon petit Mistral, nos amis se sont retrouvés inévitablement dans ses rabattants.

Certes peu violents, mais l'effet a été suffisant pour effacer le peu de marge qu'ils avaient entre eux et le sol. Résultat, les types ont du transpirer dans l'habitacle et on a eu droit à une belle remise de gaz des 4 turbopropulseurs du C130, suivie d'une longue-longue-longue remontée (autant le C130 Hercule mérite son nom pour la puissance, autant il faut quand même réussir à faire tenir en l'air un paquet de tonnes de ferrailles, le tout ayant la maniabilité d'un fer à repasser). 

Cette fois c'est passé, ils ont pu éviter une ligne haute tension et la crête qui se profilait dans la trajectoire.

Finalement, au lieu de continuer ce jeu de couillon avec les reliefs suivants, petits bras, ils ont légèrement dégagé vers la vallée, histoire de mettre un peu plus "d'eau sous la quille". Voir un gros machin comme ça essayer de se planter, c'est quand même impressionnant:

i' r'cule (2)

et pour finir, un joli vélo à qui je fais subir les pires traitements:

DSCF6066

comment en suis-je arrivé là? Hé bé, avant, il ressemblait à ceci, et c'est loin d'être terminé, c'est un projet à suivre:

DSCF5983

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